Bon, parlons de mon caractère. Hum... Que puis-je bien dire dessus ? Je trouve que je suis quelqu'un d'assez sympa, toujours prêt à aider les autres. Pourtant, les gens me trouvent un peu sévère quand même. Je ne les comprends pas, je fais tout pour les aider, mais ils se plaignent quand même. Bon oui, je crie souvent sur mes coéquipiers quand ils font quelque chose de travers, mais je reste toujours polie. J'avoue, être aussi très impulsif, dés que quelqu'un dit de travers ou que quelque chose ne va pas. Je me sens obligé d'intervenir. J'essaye aussi de toujours donner le meilleur de moi-même. J'ai horreur d'avoir à compter sur les autres, car je me sens mal après. Oui, j'aime aider les gens, mais je n'aime pas qu'on m'aide, tout à fait normal. Mais que voulez-vous, c'est la vie.

Bon, on va commencer mon histoire hein ! Ma petite histoire. Je ne sais même pas par où commencer. Ma naissance. Oui, ma naissance jusqu'à ce que je suis devenu. Bon, ça va aller vite.

Je suis né en plein capital, juste à côté du château de la reine. De mes souvenirs, le château était vraiment immense. Mon père, travailler au service de cette dernière. M'enfin, il était plus un simple garde qu'autre chose, mais cela ne me dérangeait pas vraiment. J'étais fière de mon père. Je voulais devenir comme lui. C'est pour ça que dés mon jeune âge, il avait décidé de m'initier au combat. Ma mère était un peu contre, elle trouvait ça, dangereux. Ma mère était vraiment gentille et douce. Elle faisait toujours tout pour aider autrui. Elle était plutôt grande, avec de jolis cheveux brin et des yeux de couleurs si verts, qu'il ressemblait à des émeraudes. Elle détestait par contre les mensonges. Je comprends bien pourquoi c'est ma mère. On est presque pareil. Elle assistait presque à tous mes entraînements. Ce qui me faisait énormément plaisir. Bon, j'adorais par contre me battre avec des épées qu'à main nue. Particulièrement, deux sabres, un dans chaque main. Comme disait mon père "chacun son propre style de combat". Lui, il préférait de loin les armes lourdes du genre les grosses épées qui se tiennent à deux mains.

Un soir, mon père, était parti en mission. Je me souviens que ma mère avait insisté pour pas qu'il y aille. Elle était très inquiète, le sujet de cette mission l'intriguer. Mais mon père, comme à son habitude avait fait son plus grand sourire et lui avait promis de revenir et que tout se passerait bien. Tout, c'est passé comme prévue, mais quand il est revenu sa tête avait complètement changer. Il était comme horrifié, l'angoisse, la peur, tous ces sentiments se transcrivaient rien qu'à la vue de son visage. Il n'avait pas parlé de la journée. Je me rappel que cette journée était passée quand même extrêmement vite. Puis d'un coup, quelqu'un vint toquer à la porte. J'avais couru pour l'ouvrir, puis là, d'un coup un garde me fit valser contre un mur. Il hurlait dans toute la maison.

-"Mr.Kazuto, vous êtes en état d'arrestation !!! Veuillez vous livrez de suite."

Mon père était sorti du salon, pour venir à l'entrée. Il avait un air triste. Derrière lui, toute droite, blanche comme un linge se tenait ma mère. Les gardes vinrent les saisir tous les deux et firent de même pour moi. Je me débattais tout en hurlant, des larmes coulaient même. Je refusais de partir de mon chez-moi pour je ne sais quelle raison.

-"Relâcher au moins Kirigaya. Il n'a rien fait et n'a rien avoir dedans. Ma mère avait lâché ça, comme ça. Sans la moindre hésitation, j'aperçus un mince petit sourire quand elle avait tourné sa tête vers moi."

Un garde s'était approché d'elle, c'était justement celui qui me tenait. Il m'avait lâché. Arriver à elle, il lui mit une grosse gifle qui fit reculer ma mère. Mon père se mit à hurler de haine. Il se débattait dans tous les sens, tellement que les gardes qui le tenaient furent projetés en arrière. C'est alors à ce moment qu'il s'était jeté sur le garde qui avait frappé ma mère puis se mit à l'enchaîner de coup de poing. Il avait le regard rempli de haine. Si ça continué comme ça, il allait le tuer se pauvre garde. Puis d'un coup, les gardes plutôt sonnés, venaient de se lever pour lui saisir les bras. Je le regardais avec envie de l'aider. Mais je me demande bien ce que je pouvais faire. Mon regard croisa le siens un court instant. Puis d'un coup ses lèvres, c'étaient mise à bouger. Il souriait. Puis il venait de faire bouger ses lèvres pour me dire de ... "Fuir". Je ne pouvais pas bouger, ils me verraient. Puis d'un coup, comme si mon père avait compris ce que je voulais dire, il fit bougeait ses bras dans tous les sens. Comme s'il tentait de se libérer. Les gardes étaient tous focalisés sur lui, donc en baissant ma tête, je me dirigeais vers la porte. Je savais qu'à ce moment, même si je ne pouvais pas le voir vue que j'étais de dos. Mon père souriait. Donc d'un coup, j'avais ouvert la porte et pris la fuite dans une direction quelconque. J'étais en pleure. Je ne savais même pas où aller. Je toquais à toutes les portes que je voyais, mais personnes n'acceptaient de m'héberger. Normal après tout. Puis, enfin.La dernière porte que j'avais décidé de toquer avait accepter de me prendre. C'été une vielle dame, plutôt âgée. Dans la soixantaine, je dirais. Elle m'avait accueillie avec un grand sourire. Cela, m'avait-elle expliquée, que ça ne la dérangeait pas du tout. Elle m'avait même donné une chambre pour dormir en plus de la nourriture. Je doutais même, croyant que tout ceci n'été que farce et qu'elle allait d'un moment à l'autre, faire de moi son nouveau joujou.

Le lendemain, je m'étais réveillé sans aucun problème. Pourtant, j'avais comme un mauvais pressentiment. Même pendant le petit-déjeuner, je me sentais mal. Puis d'un coup, alors que je regardais par la fenêtre le splendide beau temps qu'il faisait, j'entendais le bruit d'une trompette. Elle résonnait dans tout le capital. Donc d'un sursaut, j'étais sortie. Puis une personne au milieu de la rue s'exclamait.

-"Ce soir, je vous prie à tous d'être présent. Une exécution publique aura lieu. Venez nombreux, et voyez le châtiment qu'inflige la reine à ceux, qui désobéissent les ordres."

Mes poings se serraient tous seul. Il y avait peu de chance que ce soit père qui se fasse exécuter, mais il y en avait quand même un peu. Une fois le soir venu, je mis le sweat à capuche que m'avait donné la dame. Elle aimait prendre soin de moi. Me bichonnant comme si j'étais son fils. Elle, était restée chez elle. Elle n'était pas fan des exécutions publiques comme ça. Moi non plus. D'ailleurs, j'en avais jamais vu. Une fois sur place, j'avais remarqué qu'il y avait foule. Presque tout le capital. J'avais du mal à clairement voir la scène. Mais une fois que je fusse en mesure de voir l'échafaud, j'étais choqué. Mon père avait la corde attachée autour de son cou, ainsi que ma mère qui était à côté. Tous les deux, avaient la mine complètement dépiter. Ils étaient à la limite de pleurer. Le bourreau vint se mettre à côté du mécanisme qui aller pouvoir permettre de pendre les pauvres victimes. Aucun bruit ne se faisait entendre. Tout le monde attendait. Soudain, quelqu'un, énuméra tous les noms des victimes qui allaient mourir. Une fois tout cela fait. Je sentais que le bourreau n'allait pas tarder à lancer le mécanisme. J'avais alors mis ma capuche. Je fixais la scène impuissant, capuche sur la tête. Puis voilà, le moment fatidique. Le bourreau avait activé le mécanisme. Les 5 victimes étaient mortes d'un coup. Je me demandais s'ils avaient eu mal. Mes larmes coulaient. Je tremblais. Que faire ? Que faire ? Je ne pouvais, mais vraiment rien faire. Donc, alors que je marchais tranquillement dans une rue, j'avais vu une affiche avec mon nom. Il y avait une jolie belle somme en dessous de ma tête. J'étais demandé soit en vie. Soit mort. J'avais mon mignon petit visage bien dessiné sur l'affiche. Super. Maintenant, j'étais un fugitif. Je ne pris même pas la peine de rentrer chez la vielle. J'en suis sûr qu'elle m'engraissait pour mieux me tuer. Au moins, elle n'aurait pas eu beaucoup d'effort à faire.

Pour bien partir, je fis un rapide saut chez moi, enfin dans mon "ancienne " maison. Elle était comme avant. Je m'empressais de monter dans ma chambre. Elle était intacte. Mon bureau, mon lit rien n'avait bouger. Ça m'avait tellement fait plaisir. Donc vite fait, je pris un sac. J'y avais mis tout les affaires que je trouvais importantes. Puis, pendant que j'y été, je me changeais. Enlevant cet horrible sweat pour prendre mes fétiches habits noirs. Voilà, j'étais prêt pour ma splendide épopée. Ah non, il manquait quelque chose. J'avais vite fait courus dans l'armurerie. Elles étaient là. Mes deux sabres. Elucidator qui était l'épée tout sombre et Repulseur qui allait dans les tins blancs. Mon père trouvait ça bête, que je donne des noms à des armes. Mais moi, au contraire ça m'amusait, je croyais pouvoir leurs parler en leurs donnant des noms. Je les accrochais toutes les deux à mon dos puis je sortis de la maison. Une torche à la main. Pendant que je partais, ma maison brûler dans mon dos. J'avançais tête baisser. Pendant que j'étais dans cette maison, je me suis fait une promesse.


Désormais, je ne m'appelle plus Kirigaya Kazuto, mais Kirito.