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 Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden.

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Eden Florius De N.
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MessageSujet: Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden.   Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden. Icon_minitimeLun 17 Aoû - 13:05


GIVEN UP.

Waking a sweat again. Another day's been laid to waste in my disgrace. Stuck in my head again. Feels like I'll never leave this place. There's no escape. I'm my own worst enemy.


Nom : Florius de Nardo.
Prénom : Eden.
Âge : La trentaine en apparence. Bien plus en réalité.
Date de naissance : 9 Février.
Situation familiale : À la tête d'une des plus grande famille vampire. Pas de compagne. Pas d'enfant. Pas d'problème.
Situation amoureuse : Sans cœur.
Particularités : Cicatrice qui bard la totalité du dos.
Groupe : Vamp' évidemment.
Avatar : Sexy Tommy c:

The Handler.
Sentinelle aux cheveux de charbon. Légèrement hirsutes, ondulés. Pas très longs. Bien moins qu’avant. Peau de marbre. Lisse et froide. Visage dessiné, creusé, aux imperfections et traces du temps gommées. Regard perçant et glacial. Tiré entre le ciel matinal, brumeux, de craie, et la mousse fraîche emplie de bruine. Lèvres fines et rosées. Gercées à force de trop les mordre de stress ou d’excitation. Mâchoire carrée. Menton poncé. Epaules minces mais puissantes. Stature longiligne et fine. Féline. Jambes en continuité, tracées d’un trait rectiligne. Buste droit et complet. Prêt à tout soutenir, à tout retenir. Paume ronde. Phalanges de pianiste.

Le Manipulateur.

La Façade est réfléchie. Calme. Silencieuse. Elle parle quand il le faut, comme il le faut. Le Masque est méticuleux. Impassible. Froid.  Il agit comme on lui demande. Il obéit bien sagement sans interférer, sans rien demander. Sans oublier ses intérêts personnels néanmoins. Un point sur lequel il est intraitable. Il pense avant tout à ce que les occasions peuvent lui apporter à lui et sa lignée. Autour de laquelle il est très protecteur. Envers qui il peut même être tendre. Il agit en conséquence. Sait saisir sa chance. Ne se déplace pas pour rien. Juge mal les gens en-dessous de lui. Son côté perfectionniste en matière d’affaire le rend intraitable, ce Masque.

Le Gaspilleur est dans l’hybris. La démesure. Le faste. La tragédie et l’horreur dramatique. Il aime le sang. Les cris. Les supplications chuchotées de ses victimes avant qu’elles ne soient cueillies par la froideur éternelle. Il aime trancher la peau, la déchiqueter. Pas forcément pour boire. Pas forcément pour se nourrir, se subvenir à lui-même. Mais pour apaiser son cœur en fureur infernale. Faire souffrir. Pour oublier qui il est. Ce qu’il est. Pour enfouir toutes les horreurs qu’il a subit et qu’il subit encore, hanté de cauchemars. Comme nuage vaporeux tout autour de lui, partout où il va. Reste de songes. Aura brumeuse. Il aime la nuit, il aime le froid. Deux éléments qui sont tout son monde.

crackle bones



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Pseudo : Bloody.
Âge : Toujours 16 ans.
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Eden Florius De N.
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MessageSujet: Re: Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden.   Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden. Icon_minitimeLun 17 Aoû - 13:35


ACT MY AGE.




Jour 1.
Je viens de retrouver ce carnet. Je crois que c’est Mère qui me l’avait offert. Je ne marquerais sans doute pas l’histoire de ma famille par ma présence. Ce journal sera ma preuve.

Jour 17.
Père m’a demandé dans son bureau aujourd’hui. Il m’a expliqué que je vieillissais et que bientôt il faudrait le remplacer à la tête de notre famille. Il m’a indiqué par quels principes son successeur était désigné. Un entrainement. Mental et physique. Je vais y participer en tant qu’héritier. Tous les garçons d’âge proche du mien, et qui partage un lien du sang avec moi, y seront aussi conviés. Je viens d’avoir 15 ans. L’entrainement commence dans deux jours.

Jour 18.
Ils ont coupés mes cheveux ... Mes longs cheveux charbon. Ça m’a fait mal au cœur de les voir taillader à travers ma tignasse, pour qu’elle se fracasse au sol, mais je n’ai rien dit. Père a dit que cet entrainement allait nous transformer. Qu’il fallait abandonner le « nous » du passé pour arriver au « nous » du présent. Qu’on ne devait s’attacher à rien de matériel car tout était fugace. Au moment où j’écris, je n’arrive toujours pas à me faire à cette nouvelle coupe. J’ai l’impression d’avoir perdu une partie de moi-même. C’est idiot.

Jour 19.

J’ai passé la première étape de l’entrainement. On était cinq. Tous les autres étaient plus grands. Plus baraqués que moi. Tous nos représentants familiaux étaient là, dans une tribune, à nous regarder dans le gigantesque sous-sol, aux allures d’arène de gladiateurs, qui nous sert de lieu d’entrainement. Le but était de retrouver une proie au centre d’un labyrinthe exigu, magique et donc changeant. Je passais en dernier. Alors que tous les autres se lançaient à pleine vitesse dans les allées du labyrinthe, j’ai préféré y aller à mon rythme, je ne suis pas très bon à la course sur longue durée de toute façon. Je me suis fié à mes sens, à mon odorat plus développé que la normal. Nous sommes tous parvenus à retrouver le cadavre qui y avait été déposé, mais j’ai été le plus rapide. J’ai été droit au but. Père m’a félicité.

Jour 20.
On nous a levés tôt. La nuit était toujours présente. Ils nous ont tout juste laissé le temps de nous habiller puis nous ont poussés jusque dans l’arène froide et vacillante sous les flammes des torches disposées tout autour. Il y avait cinq poteaux. On nous a dit de s’y adosser. Certains étaient réticents, demandaient à savoir ce qui allait arriver. Je suis resté silencieux et j’ai obéis. J’ai bien fait. Ceux qui n’étaient pas à leurs poteaux, soit deux de mes concurrents, ont été empalés. Aussi facilement et simplement. Je suis resté une seconde interdit. Une voix a résonnée en nous disant que la première base de l’entrainement était l’obéissance. Puis le contrôle de nous-même. Et c’est à ce moment-là que trois vampires ont débarqués, nous ont attachés puis ont placés devant nous trois chaises. Qui ont été remplies par trois personnes. Trois humains. Déjà bien amochés. Ils saignaient et rien que cette vision a fait descendre mes crocs et rétrécirent mes pupilles, je l’ai senti. Ils étaient apeurés, terrorisés. Et rien que ça ne m’excitais qu’encore d’avantage. Les liens en argent qu’on avait placés autour de mes poignets me brûlaient. Je mourrais d’envie d’y aller. Ce n’était pas le sang que je voulais, mais tuer. Je le savais. Au fond de moi. Le monstre a toujours été là. C’est tout ce que je voulais. Tuer. Fracasser. Briser. Je grognais sourdement. Lorsque j’ai tourné la tête, j’ai vu que les prétendants au même titre que moi, étaient dans le même état, si ce n’est pire. Ils n’avaient pas mangé. Moi non plus, mais je ne ressentais pas cette soif sèche. Mes fers me brûlaient et cela ne déchainait qu’encore plus ma colère et mon envie de tuer. Nous étions jeunes et incontrôlables par rapport aux responsabilités de notre condition. Puis les trois vampires sont venus rechercher les trois victimes terrorisées. Au moment même où elles disparaissaient, j’ai sentis comme un soulagement m’envahir. Mon corps s’est détendu, mes pupilles se sont de nouveau dilatées et mes crocs sont remontés. Toutefois, c’était une autre histoire pour les deux autres. Ils continuaient de s’agiter. De grogner à n’en plus pouvoir. Mais au moment où nos trois bourreaux sont revenus, ils étaient chargés. Scalpels. Fouets. Marteaux. Clefs anglaises. Pinces. Barres de fers rougeoyantes. Et leurs kits de souffrance étaient encore longs. Celui qui « s’occupait » de moi était un grand brun. Son visage lisse et pâle était parfaitement conservé, comme nous tous. Un petit bouc sur le menton et une moustache sur la lèvre supérieure. Un grand chapeau recouvrait le dessus de son crane d’où pendaient des cheveux mi- longs, qui lui arrivaient au-dessus des épaules. Il a relevé des pupilles semblables à une écorce exposée au soleil, vers moi. Il n’avait pas l’air méchant. Enfin pour un vampire comme moi. Il a déchiré le haut simple et ample que je portais d’un geste et à effleurer mon bras droit et attaché, de quelques doigts. Il m’a parût qu’il souriait. Je n’ai pas sourcillé, je n’ai rien dit. Alors qu’à côté de moi des cris de douleurs et des jurons s’envolaient dans la pièce. Je restais stoïque. Père m’en avait fait voir bien pire dans mon enfance. Les bains bouillonnants. Les coups de pieds en pleines côtes. Les jours entiers sans manger. Peut-être que cela m’avait été bénéfique, quelques parts. J’avais finis par lui vouer une colère sans borne, cela m’avait endurci. Pourtant je l’admirais. Peut-être qu’il ne le faisait pas que pour son plaisir personnel mais bel et bien pour me préparer. Mère n’était pas pour. Elle ne supportait pas. Et pourtant elle n’en disait rien, elle était au courant de toute façon. Mon bourreau a lacéré mon dos de coups de fouet. La souffrance était intenable et pourtant je me retenais de crier. Je gardais les dents serrées, mes crocs prêts à trancher. Je fermais aussi les yeux puisque mes yeux avaient dû changer de couleur. Mes entraves cloquaient toujours plus mes poignets. J’avais envie de hurler. Cette douleur aurait pu me rendre fou. Mais je me répétais en boucle dans ma tête, un mantra : Plus de place au passé. Le présent est là. Plus de place au passé. Le présent est là. Comme Père me l’avait conseillé. Et j’ai finis par faire totalement abstraction de qu’il était en train de m’infliger. Je n’étais plus dans mon corps. Plus dans la pièce. Dans un ailleurs. Pas très éloigné. Mais assez pour échapper à ces violences. Le monstre était toujours là, tapi. Je le sentais. Pourtant il restait endormi. Je parvenais à le maintenir. A le garder bridé. Puis tout s’est arrêté. Cela a cessé. Je sentais l’odeur du sang. Pas humain mais bien celui de vampires. Alors que j’avais entendu mes os se briser avec fracas. Ma chair se déchirer dans un grondement strident ... Tout se refermait. Tout revenait. Les traces sur mes poignets, finalement libérés, avaient disparues. Les coupures sur mes bras et mes épaules n’étaient plus là. Les coups de pinces sur mon ventre et mes hanches n’avaient jamais existées. Mes doigts de pieds brisés se sont reformés comme par magie et plutôt rapidement. Seule restait cette marque de fouet dans mon dos. Saillante et rougeâtre d’où perlait mon propre sang. Je me sentais vidé. Extenué de toutes ces émotions.
Ce soir je ne suis plus le même. J’ai changé. Je suis quelqu’un d’autre. J’ai mué comme un serpent. J’ai changé de peau. Je suis le nouvel ambassadeur de la famille Florius de Nardo.

Jour 25.
Toute ma garde-robe a été changée. Les vêtements enfantins ont laissés place aux grandes redingotes. Aux costumes trois pièces. Aux chaussures de ville brillantes. Nœuds papillon. Cravates. Vestes de costumes. Haut-de-forme. Toutes dans la même colorie. Noir, évidemment. J’avoue que j’ai été un peu perdu devant tout ce luxe qu’on m’avait refusé jusque-là. Mais je n’ai pas fait la fine bouche. Je suis finalement descendu en bas, dans le hall de notre gigantesque château à la décoration intérieur comme extérieure de style gothique. Ils m’attendaient tous. Père. Oncles, tantes, cousins. Il devait y avoir, en tout, une cinquantaine de personne. Toutes ces personnes réunies dans le faste d’une réception organisée par mon père. Je me suis arrêté à la dernière marche de l’escalier pour tous les observer. Fierté. Jalousie. Bonheur. Admiration. Vengeance. Je pouvais sentir tout cela. Comme un nuage épais qui flottait tout autour d’eux. Puis je suis finalement descendu et mon père m’a pris dans ses bras, m’a tapoté l’épaule en me félicitant. J’étais devenu ce qu’il voulait. J’avais accompli les desseins qu’il profilait pour moi. J’avais réussi selon ses idéaux. Pourtant, c’est à ce moment-là, que je me suis demandé si tout cela était bien ce que je désirais. Au fond, je n’avais rien demandé de plus que la reconnaissance de ce père qui avait déjà perdu deux fils dans cet entrainement. Je l’avais. Maintenant je me sentais vide. Qu’est-ce que j’allais faire ? Vivre comme lui l’aurais voulu, sans jamais demandé ce que moi j’aurais aimé réaliser. J’ai fait le tour du salon pour me laisser aller à toutes ces congratulations. Je n’étais pas vraiment là. Je faisais cela comme un automate l’aurait fait. Sans émotion. Sans réel plaisir ou fierté. J’étais là. Point final.

Jour 30.
Père m’a longuement entretenu dans son bureau, une nouvelle fois. J’ai ainsi inculqué que notre famille tenait une grande place dans la société, aussi bien vampirique qu’humaine ou magique. Echanges commerciaux, moyens militaires. Voilà nos deux grands secteurs. J’ai donc, silencieusement comme à mon habitude, absorbé toute cette quantité d’informations capitales. Il m’a aussi indiqué que nous n’étions pas les seuls à faire la balance dans le marché. Les autres familles sont redoutables aussi. Tout n’est que bluff et jeux de cartes. Je vais être contraint de me sentir capable de porter tout ça.

Jour 37.
Je n’arrive pas à bien écrire. Je tremble trop. C’est trop dur. Le papier est tâché de larmes, l’encre a bavée. Qu’est-ce que je suis devenu …

Jour 43.
J’ai mis du temps à m’en remettre mais la machine est désormais lancée et je ne peux plus rien y faire. La dernière épreuve convenait à ce que je réduise mon propre père à l’état de poussière. Je n’ai pas eu le choix. Mon corps n’a pas semblé faire la différence contrairement à mon esprit. Deux voix hurlaient en moi. Le Tueur à a été le plus fort. Le Gaspilleur. Celui qui préfère tuer à tout va plutôt que de tuer juste pour se nourrir. Voilà ce que je suis devenu. Je suppose que cela me va. Je n’ai pas le choix de toute façon, je suis ambassadeur à la place de mon père défunt, maintenant. J’agis comme tel.

Jour 70.

La résidence d’une de nos familles concurrentes a été retrouvée incendiée. Tous les membres en sont morts. Seul le fils cadet est recherché. Je ne vais pas me plaindre, la place est donc plus libre pour nous. Depuis le coup d’état de la Reine, nos marchés enflent. Aussi bien du côté royal que du côté rebelle. La neutralité semble le meilleur choix à prendre.

Jour 139.

J’ai touché le fond. J’en suis arrivé à traîner tous les soirs dans les quartiers les plus malfamés de la capitale. Je porte désormais  la tapisserie de mon bureau, anciennement celui de mon regretté père, en horreur. Je n’y arrive plus. Je suffoque. Je ne supporte plus. Qu’est-ce qui m’arrive ? C’est pourtant ce que je voulais. Je le croyais.

Jour 196.

J’ai pratiquement déserté ma propre demeure. L’extérieur me semble tellement plus simple. Au dehors, je ne suis personne. Pas d’ambassadeur. Pas de vampires. Pas de grandes familles. Personne ne me reconnait. Je ne suis qu’un point dans une masse, et cela me plait. Ne pas être sur le devant de la scène. J’aime ça. Mon envie de tuer enfle de jour en jour. Cela m’inquiète. Plus j’avance, plus le côté animal que je me devais de réprimer dans mon enfance, ressort. C’est ce que je suis voué à être depuis le départ, n’est-ce pas ?

Jour 320.
Ce soir c’est mon anniversaire. Je viens de retrouver ce carnet. Je n’y pensais plus. J’avais la tête ailleurs. L’entreprise se porte bien, je crois. Contrairement à moi. Ce soir je suis seul à la table de mon salon. Je n’ai rien demandé. Ni fête, ni repas. Rien. Moi, mon château et cette bougie à côté de moi. De la vodka m’accompagne aussi. Je me sens creux. Vide. Il prend toujours plus de place en moi. J’ai finis par lui laisser les manettes la plupart du temps. Il s’en sort mieux que moi, autant l’utiliser. Le Gaspilleur, comme l’appelait Père. Maintenant je comprends. Je bois à ces trente-deux années. Et pris pour que cela s’améliore.

Jour 429.

J’ai croisé quelqu’un ce soir. Un homme. Un soldat privé de la Reine. Cela m’a étonné de voir « ce genre de personne » dans un bar avec une aussi mauvaise fréquentation. Quoique, on aurait pu en dire pareil de moi. J’arrivais plus ou moins à gérer les affaires commerciales malgré ma présence plus que légère. Ils veulent que je trouve une fiancée. Que je lui donne un fils et que je fasse de lui mon héritier. Mais je ne veux pas lui infliger ce que j’ai vécu. Ça n’arrivera pas. Je refuse. Je reste à la tête de la famille, aucun problème, mais ma descendance, hors-de-question.
Bref, ce mec est venu se poser à côté de moi. J’avais le nez dans un verre de vodka. Lui tapait au whisky. Lorsqu’on a relevé au même moment les yeux, je n’sais pas … Il s’est passé un truc. Je n’ai pas pu approfondir ça. De simples miliciens royaux ont démarqués. Nos chemins de fuite ont été différents.

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Richard Eloi
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MessageSujet: Re: Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden.   Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden. Icon_minitimeLun 17 Aoû - 17:43

Pfeuh. J'devrais même pas commenter ça à cause d'la fin d'c'tte histoire pourrie u_u

Enfin bon... Jolie petite fiche, on bave tous gentiment, surtout Richa/PAF/
Tout est en règle, j'te validoche en laissant un 'tit peu la fiche ici puisque tu tiens tant à avoir des commentaires. 


DONC, CHER NOUVEAU MEMBRE


Tu es dorénavant validé, toutes mes félicitations ! Mais il te reste encore quelques étapes pour être en règles...

♦ Tu peux recenser ton avatar par ici !
♦ Il y a aussi une place pour ton métier et pour ton familier.
♦ Profites-en pour accepter ou proposer des RPs  !
♦ Pour que tout soit bien en ordre, tu peux répertorier tes rencontres ici, et tu as un grenier fourre-tout .
♦ En cas de problème, la boite à MP du staff reste ouverte.

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MessageSujet: Re: Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden.   Je suis né. Depuis j'improvise.│Eden. Icon_minitime

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